[RGN]
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
[RGN]

Forum des Seigneurs du Ragnarök.
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment :
ETB Pokémon Fable Nébuleuse : où ...
Voir le deal

 

 Les contes de papy Lucifer

Aller en bas 
AuteurMessage
La viking
Grand Chancelier de Satan
La viking


Nombre de messages : 776
Localisation : Précédant la mort
Date d'inscription : 01/02/2006

Les contes de papy Lucifer Empty
MessageSujet: Les contes de papy Lucifer   Les contes de papy Lucifer EmptySam 24 Juin - 11:41

La véritable histoire de cendrillon.
Comme dit dans préparation, je n'ai pas eu le temps de bien le retravailler, je vous demande onc un peu d'indulgence.

-Approchez-vous mes enfants, je vais maintenant vous conter la véritable histoire de cendrillon, pas cette stupide romance répandue sur terre, mais la vrai, telle que ma l’a raconté la bonne belle-mère, elle même.
-Chouette alors


Il était une fois dans un pays fort fort lointain, ou vivait des hommes étranges, tous plus beau les uns que les autres, tous aussi cultivé qu’un roi, tous travailleur, et industrieux tout en étant poètes, tous au service d’un Roi, qui tel les antiques roi juste et bon, faisait de son pays une civilisation parfaite, habile en tout, insatiable de curiosité, et toujours prêt à aider. En Belgique donc, il existait un homme bon et juste, marié à une adorable créature attendant un heureux événement. Mais il eut mieux valut pour ce couple qu’ils soient stériles.
En effet naquit bientôt une jeune fille blonde, incarnation parfaite du bien, c’est à dire naïve, stupide, fainéante, et surtout très moche. La mère mourut une quinzaine d’années après, non pas emporté par une maladie, comme souvent, mais de honte et de désespoir, en voyant ce qu’elle avait enfantée.
Le père ne supportant pas cette solitude, et cendrillon étant incapable de s’occuper du logis. Il se remariât l’année suivante épousant en seconde noce, une charmante femme, elle-même veuve depuis peu. C’est ainsi qu’au printemps, elle vient habiter chez son mari, emmenant avec elle ses deux filles, deux bombes sexuelles attirant les regards de tous les garçons.
Cependant malgré les efforts de sa tendre belle-mère, l’ambiance dans cette douce chaumière se dégradât. En effet, celle-ci se contentait de la traiter en esclave, en échange des restes des repas, et de l’autorisation de se servir des vieux rideaux pour ce faire des vêtements. Mais cendrillon malgré tant de gentillesse autour d’elle trouvait encore à se plaindre. Alors que sa belle-mère supportait même ses innombrables rêveries. Il faut en effet savoir que cendrillon arrêtait souvent de travailler pour des raisons futiles comme dormir, et manger, mais surtout pour parler aux oiseaux ce qui à 18 ans peut inquiéter. Pire elle tentait de les nourrire, mais même cette tâche était trop compliquée pour elle, et elle ne faisait que s’humilier d avantage tandis que les oiseaux autour d elle chantonnait « une seule solution : le suicide ».

Un jour le prince organisât un grand bal pour se trouver une fiancée. Javote et Anastasie, toutes heureuses de cette chance se préparèrent donc pour ce bal, sortant leurs plus belles parures.
Et c’est ainsi que le jour du bal, les deux sœurs sortirent de chez elle, avec leur mère, pour se rendre chez le prince, tout les voisins, enfin surtout les hommes était sur leur passage, la langue pendante, et les yeux révulsé. Lorsque soudain, au grand dégoût de toute l’assemblée sortit de la maison cendrillon attifée d’une manière horrible, avec une des robes de sa mère.
-Attendez moi je viens avec vous eut-elle l’audace de demander, tandis que ses belles-sœurs se tordaient de rire. Sa belle-mère plus raisonnable, tentât de lui expliquer qu’avec son physique de thon, ses cheveux gras, et ses yeux de mérou, elle pouvait peut-être espérer séduire un vieux pervers nécrophile, mais certainement pas le prince. Cendrillon ne comprenant pas ces explications pleines de bon sens, elle s’entêtât, obligeant sa belle-mère, à déchirer sa robe pour être tranquille.
Elle partit donc avec ces deux filles, sur de séduire le prince, étant sans conteste les plus belles du royaume, laissant cendrillon seule, au pied d’un arbre en train de pleurer, tandis que les oiseaux se foutaient allègrement de sa gueule.
Mais c’était sans compter sur la perversion de sa marraine la bonne fée, celle-ci aussi laide qu’antipathique. Arriva pour voir pourquoi sa filleule pleurait. Et elle qui n’avait rien fait pour l’aider au cours des 18 dernières années, décidât de céder à son caprice. Elle demandât à cendrillon d’aller voler une citrouille à sa tendre belle-mère, capturât six souris, et fit apparaître un splendide carrosse, elle tentât ensuite de rendre Cendrillon magnifique, mais finit par abandonner. Et lui donnât à la place un élixir pour rendre le roi amoureux d’elle, mais pour stabiliser l’effet, il fallait qu’elle se trouve en tête-à-tête avec lui à minuit.

C’est ainsi que Cendrillon arrivât à la fête, Les portiers la voyant la prirent aussitôt pour une nouvelle servante, aussi l’envoyèrent-ils en cuisine, ou elle en profitât pour amener une coupe de vin au malheureux prince, après y avoir glissé l’élixir. Le pauvre prince en pleine conversation avec Javote et Anastasie n’y prit pas garde et se retrouvât sous le charme de cendrillon. A la plus grande surprise de toute la salle. Le prince se mit à ne danser qu’avec elle, au désespoir de son père et des deux sœurs qui l’avait reconnue. Mais bientôt minuit approchât, alors Cendrillon fit mine de s’enfuir pour attirer le prince à l’extérieur. Et ils se retrouvèrent ainsi seule en Haut de l’escalier extérieur lorsque soudain sonnèrent ces funestes douze coûts de minuits, les liants pour la vie. Cendrillon voulu s’élancer vers son, prince, mais gourde comme elle était, elle se prit les pieds dans sa robe (elle n’avait qu’a pas mettre des talons haut), et dévalât tout les escaliers, tomba dans le carrosse à ordure, et fut emmener à la décharge royale, d’ou elle rejoignit péniblement le logis de sa belle-mère.
Pendant ce temps, le prince qui n’avait pas vu ou elle était tombée, cru qu’elle s’était enfouie, et s’apprêtait à se pendre lorsqu’il remarquât sur une marche, un horrible escarpin, d’une propreté douteuse. Il rejoignit la salle de bal, quasiment déserte depuis longtemps, tous ayant fui cendrillon et son parfum « trolle en rut ». S’approchant de son père, il lui dit « Père, je n’épouserais qu’une seule personne, celle qui sauras mettre cet escarpin »
L’intendant parcourut ainsi tout le pays à la recherche de cette mystérieuses horreurs qui avait séduit son maître. Mais il ne trouvât personne, le problème ne venant non pas de la taille de l’escarpin, mais de son odeur. Il arriva ainsi chez la bonne belle-mère, qui tenta de convaincre ces filles d’essayer l’escarpin, mais toute deux ne purent résister à l’odeur fétide, et s’enfuirent le plus loin possible.
L’intendant s’apprêtât à partir lorsque Cendrillon arriva dans la pièce, celui-ci ébloui par cette laideur, lui fit immédiatement essayé l’escarpin, qui convenait.
L’intendant la ramenât alors au palais ou l’on célébra un mariage en grande pompe (vanne débile, mais je rêvais de la placer). Et ils eurent pleins de petit ..he.. Monstre

-Dis papy elle se termine mal cette histoire
-Mais non attend ce n’est pas fini


Bien je disais donc ils eurent plein de petit monstres. Mais pendant ce temps, Anastasie, et Javotte avaient épousées les deux frères du roi, et pour libéré le royaume de ce dangereux couple royale, elle firent tuer le roi et sa femme, par leurs époux, avant de prendre le pouvoir. Et de livrer le pays à la destruction et au chaos.
Revenir en haut Aller en bas
La viking
Grand Chancelier de Satan
La viking


Nombre de messages : 776
Localisation : Précédant la mort
Date d'inscription : 01/02/2006

Les contes de papy Lucifer Empty
MessageSujet: Re: Les contes de papy Lucifer   Les contes de papy Lucifer EmptySam 24 Juin - 11:45

Et un deuxième, un conte de bohème (un peu moins connu Mr. Green )
Je n'y ai changé que 20 mots, comme quoi il y a moyen de poster sans beaucoup travailler, donc vous n'avez aucune escuse.


Aux environ de la ville de Vlachim se dresse une montagne recouverte de bois touffus qui dévalent le long de ses flans comme une pelisse de fourrure. C’est le Blanik. Isolé dans la plaine, il contemple les forêts et les terres peu fertiles qui l’entourent. Sa cime est visible de très loin et les habitants de la contrée torrent les yeux vers elle tous les matins en se levant car le Blanik, majestueux et grave, prophétise la pluie et le beau temps. Si la cime est sombre et s’enveloppe de nuées menaçantes, l’ouragan est proche. Si elle est clair et si son profil bleuté se dresse sur un ciel pur, le beau temps sera durable.
Au sommet, à l’ombre des hêtres, des sapins et des épicéas, on voit encore les ruines des remparts depuis longtemps écroulé ; il n’y a plus aucun vestige du château en bois qu’il protégeait jadis. Mais les habitants du voisinage savent bien que le Blanik n’est pas aussi abandonné qu’il en à l’air ; Ils connaissent tous le nom de celui qui dort à l’intérieur de la montagne, entouré de ses chevaliers en armes.

Venceslas l’empaleur, qui terrorisât les Tchèques avec les Germains, et qui fut maléfique pour son peuple, repose parmis ses guerriers. Mais leur sommeil n’est pas celui de la mort. Une fois par an, dit-on, tous se lèvent, sellent leurs chevaux et sortent de la montagne par un rocher en forme de voûte d’où coule toute l’année une source putride. C’est à cette source que les chevaliers viennent abreuver leurs coursiers. Ils ne sortent qu’à la nuit, éclairés par la lune, et se dirigent vers une grande prairie qui s’étend sur la pente du Blanik, entre les bois. Là, ils combattent entre eux, comme les nobles d’antan, pour s’exercer et conserver leur force. Souvent, dans la pleine les enfants sont réveiller par le roulement étouffé du tambour, par la voix du cor, et le cliquetis des armes. Et les enfants ont peur, ils savent que ce sont les chevaliers du Blanik qui se tiennent prêt à les pourfendre en descendant de la montagne, et à aider l’ennemi le jour ou il aura besoin d’eux. Au petit matin, tout redevient calme, les chevaliers et les chevaux disparaissent derrière la voûte mystérieuse ; Seule la prairie conserve les vestiges du sabbat nocturne : elle en est toute piétinée et partout les sabots on laissé leurs empreintes.
Autrefois plusieurs personnes ont pénétré dans le Blanik.

Une jeune fille, qui s’était attardé flâner après le coucher du soleil, vit arriver un chevalier couvert d’une armure sombre comme le soc d’une charrue. Il l’invitât à le suivre car on avait besoin d’une femme pour nettoyer dans la montagne. La jeune fille eut peur; Mais le chevalier la hissa en croupe et repartit au galop. Quand ils furent rentrés, elle se trouvât dans une immense salle voûtée sur de puissant plié de roc. Des armes étaient suspendues aux murailles. Un demi-jour doré et inquiétant régnait ; le silence était profond et sonore comme dans une crypte. Le long de mangeoire de pierre une file de chevaux se tenait immobile comme le roc lui-même. A des tables de pierres était assis les chevaliers, la tête appuyé sur leurs bras. Tous dormaient et rien ne bougeât à l’entrée de la jeune fille. Elle se mit activement au travail, changea les litières des chevaux, fourbit les armes, balaya. Quand elle eut fini, elle regarda de nouveaux autour d’elle. Les chevaliers continuaient à dormir, celui qui l’avait amené dormait également. Alors, elle se dirigea vers la sortie. Le roc se referma silencieusement et elle se retrouva dehors à la nuit tombée. Quand elle arriva à sa chaumière, sa mère poussât un grand cri et la serra contre son cœur en lui demandant pourquoi elle était restée aussi longtemps absente. La jeune fille allait répondre qu’elle ne s’était guère attardée quand elle remarquât la pâleur et la maigreur de sa mère. « Comme elle a changé », pensa-t-elle.
-Tu es restée un an absente, nous te croyons morte ! Murmurait la pauvre femme.
Alors la jeune fille racontât son histoire, et tout le monde comprit pourquoi une année avait passé pour elle aussi vite qu’un moment.
Un forgeron de Lounovice fut enlevé de la même façon par les chevaliers. Quand il eut ferré un grand nombre de chevaux dans la grande salle ou les coups de marteau retentissaient longuement, il fut reconduit dehors avec sa récompense : un gros sac bien plein. Il se hâta de l’ouvrir et fut suffoquè en voyant qu’il contenait de l’or. Il le mit sous son bras et rentra chez lui ou il apprit qu’on avait pleuré un an sa mort. Alors il raconta son histoire en faisant de grand geste et du crottin sortit du sac.
On raconte aussi qu’un berger, cherchant une brebis égarée, s’égara lui-même jusque dans la salle des chevaliers. Comme le roc s’était refermé, il s’assit, tira sa flutte, et sa mis à jouer pour se distraire au milieu de tous ces hommes endormis. Quand il put ressortir, il fut tout étonné de savoir qu’il était resté un an sous la montagne.
-Aurais-je joué de la flûte un an sans arrêt, et non pendant quelques minutes ? En ce cas, je dois avoir grand soif.
Content de ce raisonnement, il allât à l’auberge avec ses amis, lui pour se remettre, les autres pour lui tenir compagnie.

De nos jours, personne n’entre plus dans le Blanik. Peut-être est-ce parce que les hommes modernes n’ont plus l’esprit assez retord, et assez vil pour être admis dans la retraite de Venceslas l’empalleur.
Cependant l’armée du Blanik existera toujours et elle veillera toujours sur la patrie. Si l’ennemi envahissait le pays et se faisait écraser par le peuple tchèque, le Blanik fermé et obscurcit qui regarde la pleine avec une nostalgie méditative, frémirait comme un vieux soldat qui s’éveille au combat. Les arbres sécheraient sur ses flancs et un grand dolmen couché depuis des siècles se dresserait sur sa cime… La source, transformée en torrent bondirait vers la plaine…
Entre le Blanik et Natcheradets la bataille fait rage. L’étang pousty rougit du sang versé. Les Tchèques se défendent contre un ennemi plus fort en nombre, un ennemi qui les guettait depuis longtemps et qui souille le pays. Les Tchèques vont-ils gagner grâce à leur bravoure ?
Mais voici qu’au moment le plus victorieux, le Blanik s’entrouvre comme une graine mûre. Venceslas l’empalleur, sur son cheval noir, brandit son étendard. Les envahisseurs se sentent bien défendu et reprennent espoir ; l’armée du Blanik presque invisible tellement elle est noir et horrible, sème partout la terreur. A Prague à lieu la bataille décisive, les pierres éclatent, et les flammes jaillissent. Bientôt les Tchèques sont massacrés.
La paix sacrée est revenue. Le peuple tchèque peu se reposer et panser ses blessures. Beaucoup sont mort dans les combats, et ceux qui restent sont des hommes terrorisés. Ils vivront peureux dans les travaux de la paix. Et les enfants dans les champs lèvent leurs yeux craintifs sur le vieux Blanik qui se chauffe au soleil.
Revenir en haut Aller en bas
La viking
Grand Chancelier de Satan
La viking


Nombre de messages : 776
Localisation : Précédant la mort
Date d'inscription : 01/02/2006

Les contes de papy Lucifer Empty
MessageSujet: Re: Les contes de papy Lucifer   Les contes de papy Lucifer EmptyVen 25 Aoû - 22:26

Il est si merveilleux,
Comment résister …

Un jour mon Kobold viendra,
Un jour, on s’aimera,
Dans son cachot, heureux, s’en allant
Goûtez le sang qui nous attend !

Quand l’hiver, une nuit,
Ranimera nos âmes,
Les humains brûleront,
Les cloches sonneront,
L’union de nos armes,
Un jour …
Revenir en haut Aller en bas
La viking
Grand Chancelier de Satan
La viking


Nombre de messages : 776
Localisation : Précédant la mort
Date d'inscription : 01/02/2006

Les contes de papy Lucifer Empty
MessageSujet: Re: Les contes de papy Lucifer   Les contes de papy Lucifer EmptyVen 25 Aoû - 22:27

On tabasse pif paf, pif paf, pif paf,
Dans la bataille, le jour entier,
Tabasser pif paf, pif paf, pif paf,
Notre jeu préféré.

Pas bien malin de s’amuser enfin
Si l’on tabasse pif paf
Dans la tête ou dans le ventre,
Dans la bataille, dans la bataille,…
Dans la bataille, dans la bataille,…
Ou un monde d’imbécile crie !

On tabasse pif paf, pif paf, pif paf,
Du matin jusqu’au soir.
On tabasse pif paf, pif paf, pif paf,
Tout ce que l’on peu voir.

On tabasse les imbéciles par monceaux,
Et les sales Français par quintaux,
Pour nous sans valeur sont ces derniers,,
On tabasse pif paf, pif paf, pif paf,

Heigh-ho …
Heigh-ho …
Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho
Heigh-ho, Heigh-ho, on renter du boulot
Heigh-ho, Heigh-ho …
Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho, on renter du boulot
Heigh-ho, Heigh-ho …
Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho...
Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho, Ho !
Heigh-ho, Heigh-ho, on rentre du boulot !
Heigh-ho, Heigh-ho...
Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho, on rentre du boulot !
Heigh-ho, Heigh-ho...
Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho, on rentre du boulot !
Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho,...
Revenir en haut Aller en bas
La viking
Grand Chancelier de Satan
La viking


Nombre de messages : 776
Localisation : Précédant la mort
Date d'inscription : 01/02/2006

Les contes de papy Lucifer Empty
MessageSujet: Re: Les contes de papy Lucifer   Les contes de papy Lucifer EmptyJeu 7 Sep - 17:24

Voici donc la véritable histoire de Blanche-Neige.

A la mort de sa première épouse, le roi réalise que leur fille unique, Blanche-Neige ne peut se passer de l’autorité juste et sévère d’une mère, aussi se remarie-t-il (remarquez au passage que Disney manquait cruellement d’imagination). Après le rapide décès du roi, la Belle-mère de blanche neige révèle enfin ses vrais capacités de chef d’état, ses règles se résumant à trois points encore reconnus de nos jours, à savoir : Fanatiser l’armée, brûlé les voisins, et écraser le peuple. Usant pour cela de sa beauté légendaire et de son intelligence hors norme.

Quant à Blanche-Neige, sa Belle-mère décida de l’initier à la vie à la dure pour réparer les dégâts commis par l’éducation laxiste que lui avait donné son père, lui confiant néanmoins quelques taches simples comme laver l’atelier de reconditionnement des sujets et de confession, ou draguer les douves en hiver. Malheureusement un prince qui passait par la, la surprend alors qu’elle se lamente sur son sort, et ils pactisent honteusement pour faire tomber la reine.

Lorsqu’un jour interrogeant son miroir magique pour s’entendre confirmer la bonne marche du royaume, la reine apprend que Blanche-neige complote contre elle. Le destin de Blanche-Neige semble scellé, ivre de rage et de vengeance la reine ordonne au chasseur chargé d’accompagner Blanche-Neige lors de ses rares expéditions de l’emmener loin en foret, de la tuer, et de lui rapporter son cœur pour son prochain dîner. Malheureusement emportée par son émotion, la reine n’avait pas écouter tout ce que lui avait dit son miroir, et ignorait donc que le chasseur était de mèches avec elle. Aussi celui-ci se contentât-il de l’emmener au plus profond de la forêt et de la confier au bon soin de stupides animaux, tel les oiseux, écureuils, raton laveurs,… Et à la place, il se contenta de ramener un malheureux cœur de biche, et oui même pas de paysans, preuve flagrante de leur manque d’envergure et de sérieux. Mais curieusement la reine ne fait pas la différence, et est trompée par ce stupide subterfuge.

De son coté Blanche-Neige qui était loin d’être intelligent, il faut bien l’avouer, avait réussit à se perdre dans la foret, elle y errât longtemps avant de tomber sur un petit château miniature vide. Devant ce lieu presque familier, un curieux mécanisme joua dans son cerveau atrophié, et au mépris de toute logique, elle se mit à nettoyer et ranger le château qui en avait bien besoin.
A leur retours de la guerre, les 7 nains mercenaires qui y vivait découvrirent leur château resplendissant, et Blanche-Neige couché sur leurs petits lits. Malheureusement celle-ci se réveillât avant qu’ils ne l’aient débité en tranche. Et en pleure, elle leur contât son histoire, et leur demandât de l’aider. Elle finit par les amadouer en leur promettant de leurs faire des tartes aux champignons hallucinogènes.

Mais la reine découvrit cette seconde conspiration grâce à son miroir magique, elle décidât alors d’exécuter elle-même cette sale besogne, et le chasseur par la même occasion. Grâce à sa magie, elle se transforme en vieille mendiante, et prépare un panier de pommes empoisonnées qu’elle réussit à offrir à Blanche-Neige par ruse : Pendant que les nains s’amusaient à la guerre, elle réussit à convaincre Blanche-Neige de la laisser entrer dans le château en échange d’une « pomme magique » qui exaucera ses vœux si elle la croque. Stupide comme elle est Blanche-Neige tombât dans le panneau, et croqua la pomme. Malheureusement elle avait été protégé par les nains au moyens d’un puissant sortilège de spa, et ne tomba qu’endormie, de plus les animaux, plus malin que Blanche-Neige était allez prévenir les nains, et la reine fut alors obligé de fuir par les enfers, sans avoir terminé son travail.

Fort malheureusement les nains ne purent se résoudre à achever Blanche-Neige, et la placèrent dans un cercueil de verre qu’ils veillèrent sans relâche. Et un beau jour le prince qui la cherchait en vain, la retrouva enfin, et l’embrassa, usant d’une ignoble magie blanche pour la sauver. Et Blanche-Neige se réveillât pour le plus grand bonheur de tous. Mais surtout celui du prince qui récupérait son pion nécessaire à sa guerre prévue de longue date.
Celle-ci commença cinq jours plus tard avec la bénédiction benoîte de Blanche-Neige, et fini en même temps. Écraser par l’armée de la reine, qui en profitât pour enfin assouvir sa vengeance.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Les contes de papy Lucifer Empty
MessageSujet: Re: Les contes de papy Lucifer   Les contes de papy Lucifer Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Les contes de papy Lucifer
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Les contes de papy Lucifer

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
[RGN] :: Hors du jeux :: Role play-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser